Flo Précieuse interpelle surtout les hommes sur la nécessité de vivre selon la parole de Dieu. Car, dit-elle, «chacun aura un compte à rendre au Père céleste au terme de sa vie». «Même ceux qui vont à l’église doivent continuer à découvrir Dieu».

Et de deux pour Flo Précieuse, Florentine Akoh Sopi à l’état civil, chantre de l’Eglise méthodiste unie de Côte d’Ivoire. Elle a mis sur le marché sa deuxième production discographique intitulée «Gloire au Très Haut»; une œuvre de 12 titres à la gloire et à la louange de Dieu. Ils sont agréables aussi bien à l’écoute qu’à la méditation.

Ce sont : «Eternel, j’élève à toi mon âme» ; «Eternel mon espérance» ; «J’ai l’assurance de mon salut» ; «En avant pour la mission» ; «Les bontés de l’Eternel» ; «Servir l’Eternel est bon» ; «Jésus Christ ma solution» ; «O toi qui pleures» ; Notre Dieu est puissant» ; «Que devient la jeunesse d’aujourd’hui ?» ; «Gloire au Très Haut» ; «Paix, paix parfaite».

Ces plages, jouées sur fond de variété musicale, distillent des notes de Domolo, d’Abodan, de Zouk, Bolo super, Salsa, etc. Le tout arrangé par le désormais célèbre Koudou Athanase et son confrère Dominique Anoha. Avec le morceau «Notre Dieu est puissant», (Tata N’zambé en lingala), l’on enregistre l’apport appréciable d’un des doyens de la musique congolaise en la personne de Vata Mombassa installé en Côte d’Ivoire depuis de longues années. C’est un rythme dansant à travers lequel l’artiste exhorte les hommes à se consacrer à Dieu, le seul et vrai sauveur de l’humanité.

Dans l’ensemble, ce CD de 12 titres véhicule des messages d’évangélisation, d’’éducation à l’endroit de la jeunesse dont l’artiste dénonce la propension à la dépravation.

Flo Précieuse interpelle surtout les hommes sur la nécessité de vivre selon la parole de Dieu. Car, dit-elle, «chacun aura un compte à rendre au Père céleste au terme de sa vie». «Même ceux qui vont à l’église doivent continuer à découvrir Dieu».

Originaire d’Agboville, Flo Précieuse, faut-il le préciser, est mère de quatre enfants. Elle travaille dans une université privée de la place. «Cela ne m’empêche pas d’animer des cérémonies de mariage, de baptême et d’organiser des concerts», fait-elle remarquer.

Sa première cassette, intitulée «Jésus est sauveur», est sortie en 2012. La deuxième, produite en 2015, a été dédicacée le 20 décembre de la même année.

Rémi COULIBALY 

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