À l'approche de l’événement du 24 mai 2025, la Fondation Humanitaire d’Intervention Globale (FHIG), dirigée par le Révérend Docteur Paul Kodjo, s'engage fermement dans la lutte pour les droits humains, la médiation diplomatique et l’assistance humanitaire. Au cœur de cet événement marquant, la fondation s'unit au Conseil National des Droits de l'Homme (CNDH) pour renforcer la coopération internationale et faire avancer la justice sociale.
Pouvez-vous nous parler un peu de la Fondation Humanitaire d'Intervention Globale (FHIG) et de ses principales missions, ainsi que du rôle que vous avez dans cette fondation ?
La Fondation Humanitaire d’Intervention Globale (FHIG) est une organisation engagée dans la promotion des droits humains, la justice sociale et l’assistance humanitaire. Elle œuvre pour la protection des populations vulnérables, la sécurité internationale, et la médiation diplomatique.
Les principales missions de la FHIG sont les suivantes :
Droits de l’homme et justice sociale : Défense des libertés fondamentales et lutte contre les injustices.
Assistance humanitaire : Distribution de nourriture, soutien médical et aide aux familles en difficulté.
Sécurité et lutte contre la criminalité : Soutien aux forces de l’ordre dans la lutte contre la corruption et le terrorisme.
Médiation et diplomatie pour la Paix : Formation d’ambassadeurs humanitaires et promotion du dialogue international.
Encadrement des jeunes et des familles : Programmes éducatifs et accompagnement des orphelins et des veuves.
Le Révérend Docteur Paul Kodjo, fondateur et directeur exécutif de la FHIG, est un leader engagé pour la paix, les droits de l’homme et la diplomatie internationale. Son parcours est marqué par :
Une expertise en théologie et en droits humains : Il est diplômé en aumônerie et droits de l’homme, et a fondé la Mission du Roi des Nations d’Anoumabo.
Un engagement diplomatique : Il occupe des fonctions de diplomate international, notamment au sein de l’Alliance Diplomatique Internationale (IDA) des États-Unis et de la Société Diplomatique Internationale (ISD) du Canada.
Un leadership humanitaire : Sous sa direction, la FHIG mène des projets d’assistance humanitaire dans plusieurs pays, dont la France, les États-Unis, le Cameroun, le Ghana et le Bénin.
En quoi consiste le partenariat avec la CNDH et comment cela contribue-t-il à l'impact de l'événement du 24 mai 2015 ?
Le partenariat entre la FHIG et le Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) joue un rôle clé dans la promotion des droits humains et la consolidation de la paix en Côte d’Ivoire.
Objectifs du partenariat avec le CNDH :
Renforcement des droits humains : La FHIG, en collaboration avec le CNDH, travaille à la sensibilisation et à la protection des libertés fondamentales.
Formation et accompagnement : Mise en place de programmes éducatifs pour les acteurs engagés dans la médiation et la sécurité humanitaire.
Intervention sur le terrain : Actions concrètes pour prévenir les violations des droits humains et soutenir les populations vulnérables.
Impact du partenariat sur l’événement du 24 mai 2025 :
L’événement du 24 mai 2025 vise à renforcer la coopération entre les institutions et les organisations engagées dans la paix et la sécurité. Grâce au partenariat avec le CNDH, cet événement bénéficiera de :
Une meilleure visibilité et reconnaissance institutionnelle.
L’implication des experts en droits humains pour des échanges constructifs.
Des actions concrètes pour promouvoir la justice sociale et la cohésion nationale.
Quel est l'objectif principal de cet événement ? Que souhaitez-vous accomplir avec cette cérémonie ?
L’événement d’Investiture du 24 mai 2025 représente une étape clé pour la FHIG dans sa mission de paix, de sécurité humanitaire et de défense des droits humains.
Objectif principal de la cérémonie :
Reconnaître et officialiser l’engagement des nouveaux ambassadeurs de paix et acteurs humanitaires.
Renforcer les initiatives diplomatiques et sociales en Côte d’Ivoire et au-delà.
Créer un espace d’échange et de collaboration entre les institutions internationales et les acteurs locaux.
Mobiliser les partenaires internationaux pour soutenir les projets de la FHIG.
Ce que la FHIG souhaite accomplir :
Solidifier le rôle des ambassadeurs de paix : Déploiement des représentants formés pour accompagner les efforts de médiation et de cohésion sociale.
Affirmer la reconnaissance institutionnelle : Collaboration avec le CNDH et les Nations Unies pour renforcer la sécurité humanitaire.
Mettre en avant les projets innovants : Présentation du Marché Mobile et de l’Hôpital Mobile pour aider les populations vulnérables.
Encourager la coopération régionale et internationale : Implication des partenaires tels que IDA, ISD et HACIG.
L'événement met en lumière plusieurs thématiques clés telles que la diplomatie, l'humanitaire, la santé, la sécurité et les droits de l'homme. Comment ces sujets sont-ils liés à l'action de FHIG sur le terrain ?
L’action de la FHIG repose sur une approche transversale, intégrant ces thématiques clés pour maximiser son impact sur le terrain.
Diplomatie et médiation internationale :
Renforcement du dialogue entre acteurs internationaux pour la paix et la cohésion sociale.
Formation d’ambassadeurs de paix pour accompagner les processus de médiation en Côte d’Ivoire et au-delà.
Collaboration avec des institutions diplomatiques comme l’IDA et l’ISD pour développer des stratégies globales de stabilité.
Action humanitaire et assistance sociale :
Déploiement du Marché Mobile pour offrir gratuitement des denrées alimentaires aux populations vulnérables.
Intervention rapide en cas de crise, avec un soutien direct aux familles affectées par les conflits ou les catastrophes naturelles.
Collaboration avec les ONG et institutions internationales pour coordonner les secours.
Santé et accès aux soins :
Mise en place de l’Hôpital Mobile, qui fournit gratuitement des soins médicaux aux populations défavorisées.
Campagnes de vaccination et prévention sanitaire dans les zones reculées.
Formation des agents de santé pour assurer une prise en charge efficace et durable des malades.
Sécurité et lutte contre la criminalité :
Appui aux forces de l’ordre et sensibilisation sur la protection des civils.
Prévention des violences sexuelles et des abus dans les zones sensibles.
Médiation communautaire pour réduire les tensions et éviter les conflits armés.
Droits de l’Homme et justice sociale :
Collaboration avec le CNDH pour garantir le respect des libertés fondamentales.
Formation des acteurs sociaux et des leaders religieux sur les principes de protection des droits humains.
Lutte contre la discrimination et l’exclusion sociale via des campagnes de sensibilisation.
Quels sont les défis majeurs que vous rencontrez dans le domaine des droits de l'homme et comment la FHIG prévoit-elle de contribuer à la solution de ces problématiques ?
La FHIG est confrontée à plusieurs défis majeurs dans le domaine des droits de l’homme, notamment :
Violations des droits fondamentaux, comme les discriminations et violences contre les populations marginalisées.
Accès limité à la justice pour les victimes des violations.
Crises humanitaires et instabilité politique exacerbées par les conflits armés.
Violences basées sur le genre, affectant particulièrement les femmes et les filles.
Manque de sensibilisation et d’éducation sur les droits humains.
Solutions et actions de la FHIG :
Renforcement de la sensibilisation : Organisation de formations et campagnes pour informer les populations sur leurs droits.
Déploiement d’initiatives humanitaires : Mise en place du Marché Mobile et de l’Hôpital Mobile pour offrir une aide gratuite aux populations vulnérables.
Collaboration avec les institutions internationales : Partenariat avec le CNDH, Amnesty International et les Nations Unies pour renforcer la protection des droits humains.
Soutien juridique et accompagnement des victimes : Aider les victimes à accéder à la justice.
Promotion de l’égalité de genre et lutte contre les violences : Programmes pour protéger les femmes et les enfants contre les abus.
Comment la collaboration entre les différentes entités (étatiques, privées, ONG) aide-t-elle à la réussite de tels événements ?
La collaboration entre les entités étatiques, privées et les ONG est essentielle pour assurer le succès de l’événement du 24 mai 2025. Cette coopération crée une synergie qui maximise l’impact de l’initiative.
Rôle des institutions étatiques :
Appui institutionnel pour garantir un cadre légal favorable.
Sécurité et logistique pour assurer le bon déroulement de l’événement.
Reconnaissance officielle des engagements envers les droits humains et la paix.
Contribution du secteur privé :
Soutien financier et matériel pour garantir la qualité de l’événement.
Innovation et expertise dans les domaines technologiques, communication, et développement durable.
Encouragement à l’entrepreneuriat social pour soutenir des projets humanitaires.
Engagement des ONG et des organisations internationales :
Renforcement de la sensibilisation par des campagnes éducatives.
Mobilisation des acteurs sociaux, comme les pasteurs et imams, pour promouvoir la paix et la solidarité.
Intervention humanitaire directe pour soutenir les populations vulnérables.
Comment la FHIG envisage-t-elle de continuer à développer son réseau et son impact sur le terrain après cet événement ?
Après l’événement du 24 mai 2025, la FHIG prévoit une stratégie de développement pour maximiser son impact :
Renforcement des partenariats internationaux et expansion des projets humanitaires.
Expansion des programmes de santé, notamment les équipes médicales mobiles.
Suivi et formation des ambassadeurs de paix pour promouvoir la cohésion sociale.
Amélioration de la communication et de la visibilité à travers des campagnes médiatiques et des plateformes numériques.
En tant que Président de la FHIG, quels sont vos espoirs pour l'avenir de l'organisation et ses prochaines étapes ?
L’avenir de la FHIG repose sur une vision ambitieuse :
Expansion du réseau international et renforcement des partenariats.
Développement des programmes humanitaires pour toucher encore plus de bénéficiaires.
Formation des leaders humanitaires pour agir efficacement dans la médiation des conflits.
Amplification de la communication pour sensibiliser davantage à la protection des droits humains.
Ethan
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