Le dimanche avait un air d’apothéose, pasteurs et fidèles étaient rassemblés afin d’écouter le dernier message du président de la MVE, l’apôtre Stanislas Houédjessi. Le samedi 13, l’accent était mis sur le couple et la famille, le clou du séminaire avait comme thème du message "Le comportement à afficher en ces derniers temps" tiré du livre d’Apocalypse20 :11-15.



« Tous les hommes passeront un jour devant le trône de Dieu », c’est avec de tels mots que l’homme de Dieu est rentré dans le vif de son message. Le caractère apocalyptique du message donnait à chacun d’avoir une attention bien choisie pour écouter ce que le Seigneur avait comme parole à donner à son peuple. « Chacun sera jugé à partir des actes qu’il aura commis » a poursuivi l’homme de DIEU. Accentuant son propos sur l’après jugement, l’apôtre a dit ceci : « à partir de cet instant, une vie nouvelle va commencer, une époque nouvelle va commencer, l’éternité, l’homme sera plongé dans l’éternité. Soit la vie éternelle ou la mort éternelle ». L’atmosphère semblait bien pesante car ce message avait les traits d’un jugement qui était redouté de tous.



Allant toujours dans le même élan, le serviteur de Dieu a déclaré de façon directe, « Jésus n’est pas venu pour que tu te maries, ni pour que tu sois prospère, il est venu pour ton salut ». L’homme de Dieu a fustigé cet évangile qui occulte le péché de la vie de l’homme. Pour lui, parler de la sanctification, voilà ce qui est essentiel pour le salut de l’homme. « L’adultère, la fornication, la débauche, le vol et bien d’autre chose encore que les gens commettent dans les églises, on n’en parle pas !! » a-t-il martelé.

Pour ce qui est de la délivrance, l’homme de Dieu a révélé qu’elle commence par la repentance, car pour lui, les démons maintiennent l’homme captif à cause du péché. Il  a donc conseillé à l’auditoire de se séparer du péché ainsi l’on ne sera plus sous la domination du Diable.



C’est par la prière de l’apôtre que le culte s’est achevé et chacun des pasteurs s’est senti plus armé pour faire l’œuvre dans son lieu d’affectation.
Unextrait du message 

Marcus

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