La condition des enfants nés hors mariage constitue aujourd’hui une préoccupation majeure dans le couple. Les nombreuses déviations dans les unions, les déchirements, avec leur corollaire et conséquence dramatique sur les progénitures innocents, illustrent cette triste réalité, avec pour toile de fond théâtral, l’enfant, socle de toute société.
Au regard de nombreux croissance d’enfant de (dans) la rue, issus pour la plupart des familles recomposées, il importe que nous puissions nous pencher sérieusement sur ce sujet .d’où la problématique suivante .quel sort devrais être celui de l’enfant né d’une union précédence ? Quelle devrais être sa place, au sein de la famille chrétienne recomposée ? Et comment devrait on l’aide à s’y intégré ? Mais avant, qu’en pense-t-on en général ?
I-Enoncer des différentes théories
Le foyer chrétien, est une institution divine que le législateur divin veut stable, indissoluble. il doit être le refait de la relation de christ avec son église d’amour et paix .mais bien d’intolérance, a l’égard d’un tiers enfant l’éloignant hélas souvent de DIEU.
Face à l’innocence relative de l’enfant a sa naissance au sein d’une famille quelconque, il apparait important pour les parents devant DIEU de tenir tous leur engagement moraux en remplissant leur devoir parentaux à son égard. Plusieurs théories sur la situation des enfants nés hors mariage sont en mise exergue. Analysons-les succinctement.
A - La conception de la rupture radicale
D’après elle, le partenaire décide conjointement de couper tous liens avec l’enfant né hors foyer. Les raisons qu’il évoque découlent d’une mauvaise interprétation de 2 Corinthiens 5 verset 17 les choses ancienne sont passées, tout chose sont devenir nouvelles ceux-ci rejettent en bloc leur passé, y compris les enfants nés pendant la vie antérieure à leur conversion.
B - La conception de la rupture partielle
Tout comme la première, elle n’admet pas l’enfant naturel aux seins du foyer mais celui-ci peut bénéficier d’un soutien bien qu’a l’extérieur .il peut être scolarisé joui de ses privilèges en d’hors du domicile recomposé ceci selon eux, pas crainte d’introduit des habitudes néfaste et étrangères aux seins du nouveau ménage. La conception de la démarche « économiste ».
C’est la théorie selon laquelle les parents acceptent, au sein de la maison d’un commun accord, l’enfant nés hors mariage, afin d’éviter les dépenses connexe a de celui-ci. L’enfant n’étant pas entre de la famille sur la base de l’amour, mais par nécessité d’économie, il peut être l’objet d’indifférence affectivité, de négligence morale, d’injustice, voir de rejet. Ceci peut entrainer des conséquences dramatique tant pour l’enfant que pour la stabilité du ménage. La conception démarche inclusive.
Dans cette théorie, l’enfant est accepté dans le foyer être au même traité au même titre que l’enfant nés dans le couple, en sorte qu’il partage tous la même valeur et la même éducation .l’enfant est pleinement épanoui et personne ne peut distinguer entre les enfants.
II – Conséquences de l’application de ces quatre théories
A – La rupture totale : En cas de la rupture totale avec les enfants du passé, ceux-ci peuvre être aigris et manifesté de la colère contre les parents chrétiens et contre DIEU. Ce qui peut les fermé les porte du salut.
B – Les théories de la rupture partielle ou économiste : Dans le cas où l’enfant est accepté dans le foyer, mais connait des frustrations ou de la maltraitance. il peut basculer dans l’insécurité, le repli sur soi. Il peut même quitter le domicile familial par des fugues répétées et sombré dans le phénomène d’enfant de la rue, avec toutes les conséquences fâcheuses.
C – La théorie de la démarche inclusive : quand l’enfant est pleinement intégré dans la famille avec ceux qui n’est pas toujours facile, il vient souvent avec une personnalité déjà acquise. Et le couple qui n’y est pas préparé psychologiquement, peut perdre pied. Mais une bonne intégration de l’enfant est possible avec DIEU et avec la force de son amour. De nombreux foyer on réussir cela, et en ont tiré des retombées positives.
III – Deux approches séculières et bibliques
A – Approche Juridique
Avec l’avènement, en côte d’ivoire, de la loi numéro 83 800 du 2 aout 1983, modifiant et complétant les disposition de la loi numéro 64 375 du 7 octobre1964, relative au mariage, les enfants naturels simple et les enfants légitime ont le même droit a l’exception de l’enfant naturel adultérin. À condition que l’épouse donne son consentement express, c’est-à-dire écrit. Par conséquence, ils doivent être traités de la même façon.
B – Approche Biblique
Tout enfant qui vient au monde a de la valeur aux yeux de DIEU. s’il a plu de la tisser et de protéger l’embryon dans le seins maternel pour nous le confier en tant que parents ,il est de notre devoir de tout mettre en œuvre pour assurer a cette progéniture tous les soin nécessaire a son épanouissement total. Ce qui importe, c’est de ne pas lui manifester de l’injustice et de l’hostilité. Car il est établi que DIEU lui-même se lève pour le faible, le rejeté, pour celui dont le cœur gémit en silence. Il demeure son défenseur et son avocat.
Conclusion
Si l’enfant conçu hors du mariage lui aussi est une grâce de l’éternel, cela n’est pas toujours perçu de cette façon par les parents géniteur. De nombreuses conceptions sont en vigueur quand a leur traitement avec des conséquences plus ou moins dramatiques.
Mais le souhait de DIEU, c’est que ses enfants soient traités de façon équitable avec les nouveaux enfants nés dans la famille recomposée. Afin que par le triomphe de l’amour, il arrive a la connaissance du DIEU d’amour .nous pourrions alors affirmer comme jésus je n’ai perdu aucun des ceux que tu m’as donné (Jeans 18.9).
Mme Esther Kondé
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