Selon le pasteur, dans une interview avec Asian Boss, l'organisation qu'il préside reçoit environ 220 à 250 bébés par an. À ce jour, ils ont sauvé plus de 1 500 bébés abandonnés.

Babybox Hatch est un système d'incubation de bébé sur le mur de la maison communautaire Babybox. C'est comme un coffre-fort orienté vers l'extérieur dans lequel les mères peuvent laisser leur bébé . Ils écrivent en haut de la boîte le message: «Si vous ne pouvez pas élever votre bébé parce qu'il est né avec une malformation, ou parce que vous êtes une mère célibataire, ne laissez pas votre bébé mourir. Ouvrez la boîte ci-dessous et placez votre bébé à l'intérieur. »

Le Pr. Jong-Rak Lee explique comment fonctionne la babybox. (Photo: Lecture / Boss asiatique
L'appareil est également «équipé d'un climatiseur et d'un système d'alerte pour avertir l'équipe de l'arrivée d'un bébé». Dès que la mère place le bébé dans la Babybox, l'alarme se déclenche. Puis, en dix secondes, le bébé est en sécurité dans les bras de l'organisation chrétienne.

L'organisation ne s'occupe pas seulement des bébés abandonnés. Ils s'occupent également des mères qui ont décidé d'abandonner leurs bébés et leur offrent des conseils.

«Quand nous ouvrons la porte et voyons la mère, nous disons 'parlons une minute'. Nous essayons donc de les conseiller », a déclaré le pasteur Jong-Rak.

Ils encouragent ces mamans et essaient de les convaincre d'élever leur bébé seules, si elles le peuvent, tout en bénéficiant du soutien de la Babybox Community. Cependant, si cela n'est pas possible, ils envoient les bébés dans un orphelinat.

Plans pour les mères

Une nouvelle entreprise pour la communauté est prévue par le pasteur Jong-Rak. "A l'avenir, il ne devrait plus y avoir de Babybox", a-t-il déclaré.

«Cela signifie que nous devons nous occuper des mères célibataires. Je veux construire un village où les mères peuvent élever leurs enfants en toute sécurité et vivre de manière indépendante », a-t-il expliqué.

L'endroit servira également à soutenir les mères dont les enfants sont handicapés. L'idée est qu'ils peuvent y faire pousser de petits jardins pour gagner leur vie. "C'est ce que nous prévoyons et pour lequel nous prions", a-t-il dit.

Le pasteur a dit qu'il continuerait à faire ce travail sans relâche "jusqu'à ce que Dieu l'appelle à la maison".