Lors de son investiture en tant que président des États-Unis, Donald Trump a annoncé la signature de nombreux décrets, dont un visant à combattre l’idéologie de genre. Fidèle à ses engagements de campagne, il a signé un texte intitulé : « Défendre les femmes contre l’extrémisme idéologique de genre et restaurer la vérité biologique au sein du gouvernement fédéral ».


Ce décret redéfinit le genre exclusivement comme masculin ou féminin, basé sur l’attribution à la naissance, et annule les politiques de l’administration Biden qui reconnaissaient des identités de genre au-delà de cette binarité. Selon Trump, cette mesure s'inscrit dans une stratégie de « restauration de l’Amérique » et vise à rétablir la crédibilité du gouvernement en affirmant les réalités biologiques, rapporte CBN News.

Contenu du décret
Le texte met fin à plusieurs pratiques fédérales :
La reconnaissance légale des hommes biologiques comme femmes et vice-versa.
L’attribution de fonds pour des transitions de genre en prison.
L’utilisation de pronoms préférés dans les documents officiels.
L’introduction d’une troisième option de genre sur les passeports.

Selon Trump, ces pratiques compromettaient la sécurité des femmes et minaient la confiance envers le gouvernement.
Cette initiative s’inscrit dans une série de victoires récentes des Républicains dans les tribunaux et au Congrès. Un tribunal fédéral du Kentucky a annulé l’interprétation élargie du titre IX par l’administration Biden, jugeant que « sexe » se réfère exclusivement à l’identité biologique. De plus, la Chambre des représentants a adopté une loi limitant les sports féminins aux femmes biologiques.

Ce décret marque le début d’une série de mesures annoncées par Trump pour contrer les politiques progressistes sur l’identité de genre. Des responsables proches de la Maison Blanche ont confirmé qu’il s’agit d’une priorité stratégique pour la nouvelle administration.

En parallèle, Trump a également signé des ordonnances pour supprimer les programmes fédéraux DEI (Diversité, Équité et Inclusion), renforcer les frontières et retirer les États-Unis de l’Accord de Paris sur le climat. 

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