Dans le cadre des préparatifs pour les élections présidentielles de 2025, l'Union des Patrons de Presse en Ligne de Côte d'Ivoire (UPLCI) a lancé un appel solennel pour des élections apaisées, promouvant des valeurs de paix, de cohésion et de responsabilité. Parallèlement, certains leaders religieux multiplient les prières dans leur communautés pour que cette élection se déroule dans un climat de paix et d'unité. Médias et religieux convergent ainsi pour protéger le pays contre les dérives et garantir une élection pacifique.


L'appel lancé par l'Union des Patrons de la Presse en Ligne de Côte d'Ivoire (UPLCI) à Assouindé le 10 mai 2025, s'inscrit dans une démarche de responsabilité et d'engagement envers la paix, la cohésion sociale et l'harmonie nationale, en prévision des élections présidentielles à venir. L'appel met en avant l'importance d'une presse responsable, éthique et respectueuse de la déontologie, en se refusant à relayer des discours de haine, de violence ou de division.

L'une des principales priorités de l'UPLCI, comme l'énonce cet appel, est de « promouvoir les valeurs d'amour, de paix, de rassemblement et de cohésion sociale » à travers leurs déclaration, intitulé «l’appel d’Assouindé». Cela résonne particulièrement avec les prières faites par plusieurs hommes de Dieu en Côte d'Ivoire, qui, dans le cadre de l'approche spirituelle, prient pour l'unité et la paix du pays pendant la période électorale. Dans leurs prières, les leaders religieux appellent aussi à ce que l'esprit d'unité domine sur les différences ethniques, politiques ou religieuses. Par exemple, plusieurs églises ont organisé des veillées de prière pour demander à Dieu de maintenir la paix et d'inspirer les leaders politiques à éviter les discours de haine et à rechercher des solutions pacifiques aux divergences.

L'UPLCI, par son engagement à promouvoir la cohésion, et les hommes de Dieu, par leurs prières pour l'unité nationale, partagent le même objectif : éviter que des divergences politiques ne se transforment en violence ou en conflit, en misant sur l'unité et l'amour pour la nation.

L'UPLCI, dans son appel d'Assouindé, met en avant son refus absolu de relayer « des discours de haine, des propos violents ou à caractère ethnique, tribal ou religieux ». Il s'agit là d'un engagement précis contre la propagation de la haine. De la même manière, les prières des leaders religieux en Côte d'Ivoire adressent une requête divine pour que les discours violents et haineux ne trouvent pas de place dans les cœurs des Ivoiriens. Ils prient pour que Dieu donne aux citoyens et aux dirigeants la sagesse de maintenir un discours pacifique, respectueux des différences, et qu’aucune parole incendiaire ne vienne troubler l’ordre public.

Le parallèle est évident : les deux démarches, celle des médias et celle des prières, cherchent à empêcher que la société soit alimentée par la violence verbale ou la division. Les médias, à travers des choix éditoriaux responsables, et les prières, à travers un appel à la bénédiction divine, travaillent en tandem pour créer un environnement pacifique.

L'UPLCI insiste sur la rigueur, l’éthique et la responsabilité dans l'exercice du métier journalistique, soulignant la nécessité de véhiculer des informations vérifiées et d'éviter toute forme de manipulation de l’opinion publique. De même, les prières des hommes de Dieu appellent à la vigilance des croyants, en les incitant à prier pour la sagesse des journalistes, des leaders et de tous les acteurs politiques afin qu’ils exercent leur responsabilité avec discernement. Les prières demandent à ce que les médias, en tant qu'instruments de diffusion d'information, soient guidés par la vérité et l'intégrité, pour éviter que la société ne succombe aux dérives de la désinformation et de la manipulation.

Les deux actions – celle des médias et celle des prières – convergent dans leur volonté de préserver la vérité, en protégeant les citoyens de fausses informations susceptibles de semer la discorde. La responsabilité collective est mise en avant dans les deux cas, appelant chacun, selon sa position, à contribuer à un climat de paix.

Enfin, l'UPLCI, dans son appel, réaffirme son engagement pour une élection présidentielle « paisible, libre, inclusive et transparente ». Cette vision rejoint les prières des hommes de Dieu, qui demandent à Dieu de veiller sur le bon déroulement du processus électoral. Ils prient pour des élections transparentes, où chaque citoyen peut exprimer sa voix sans crainte, dans un environnement serein.

En effet, tout comme l'UPLCI souhaite garantir des élections sans violence et sans manipulation de l'information, les prières des leaders spirituels visent à inviter Dieu à protéger le processus électoral contre toute forme de fraude, de violence ou d'intimidation. L'objectif ultime des deux démarches reste le même : que les élections de 2025 soient un exemple de démocratie, de liberté et de respect de l'intégrité des résultats.

L'appel d'Assouindé de l'UPLCI et les prières pour des élections apaisées en Côte d'Ivoire illustrent une union d’intentions pour garantir des élections pacifiques en 2025. D’un côté, l'engagement des médias à faire preuve de responsabilité et à promouvoir la paix, et de l'autre, les appels spirituels pour que la paix règne pendant cette période électorale, montrent que la Côte d'Ivoire, au-delà de ses divisions politiques et sociales, est unie dans la quête d'un avenir apaisé. Ces efforts conjoints, entre le journalisme et la prière, sont essentiels pour prévenir les crises et construire une nation stable et sereine pendant et après les élections.

Ethan

 

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